Prochains salons
17 juin à 19 h 30 | Montréal Bruxelles Bilbao, trois voix en poésie
à L'Ours et la vieille grille, café-librairie-lieu culturel
9 rue Larrey, Paris (France
18-22 juin | Marché de la poésie, place Saint-Sulpice, Paris (France)
Mercredi 18 juin
- 15 h Daniel De Bruycker
- 16 h Clara Inglese
- 17 h Aurora Vélez
- 18 h Maxime Cayer
- 16 h Clara Inglese - Daniel De Bruycker
- 17 h Aurora Vélez
- 18 h Maxime Cayer
- 14 h Dominique Brisson
- 15 h Daniel De Bruycker
- 16 h Jean Marc Flahaut
- 17 h Clara Inglese - Maxime Cayer
- 18 h Aurora Vélez - Samantha Barendson
- 11 h Barbara Bigot-Frieden - Florence Noël
- 14 h Clément Bollenot - Dominique Brisson - Aurora Vélez
- 15 h Marisa Persico - Maxime Cayer
- 16 h Clara Inglese - Marc Dugardin - Helena Da Silva Caquilho
- 17 h Philippe Petit - Luc Renac
- 18 h Aurora Vélez - Silvia Lizardo
- 11 h Samantha Barendson - Silvia Lizardo
- 12 h Clément Bollenot - Marisa Persico
- 13 h Clara Inglese
- 14 h Philippe Petit - Luc Renac
- 15 h Jean Marc Flahaut - Maxime Cayer
- 16 h Florence Noël
- 17 h Marc Dugardin - Daniel De Bruycker
Dernières parutions !
Poissons aux yeux tristes / Peces de ojos tristes de Marisa Martínez Pérsico
Espagnol (Argentine) | Traduction française de Chantal de Souza
Illustrations de Romina Berenice Canet
Selon la critique argentine Laura Scarano, le regard domestique d'une demi-voix frôle le soliloque et évite la grandiloquence ; un carrefour d'intimité et d'engagement n'admet pas de frontières et s'élargit avec des voyages dans différents pays et cultures, en se montrant solidaire des malheurs des démunis du monde.
Espagnol (Espagne) | Traduction française de l'autrice
Illustrations de Silvia Lizardo
La chambre rouge de Maxime Cayer
Il y a de nombreuses formes de journalisme et de médias. Il y a de nombreuses formes de journalistes. Tout le monde n’a pas la capacité de déterrer des scandales, partir sur des terrains de guerre, être à l’aise avec des célébrités. L’idéal pour chaque journaliste serait d’adapter ses choix de travail à sa personnalité.
Aurora Vélez est à sa place dans sa quête de raconter le monde.
Dans ce recueil du poète Maxime Cayer, il n’y a pas d’autoroutes, stationnements déserts, de constructions abandonnées, il n’y a aucun paysage, désenchanté ou pas. Tout cela n’existe pas à l’intérieur des murs de la chambre rouge. Il y a bien quelques objets, c’est vrai, mais surtout il y a l’angoisse et la terreur. Le poète y est seul, confiné avec sa peur, pris au piège de la couleur.
Coédition Le chat polaire / Hamac