Poésie du presque rien - 06/03/2019

Max Zouic et le Citadin filiforme lèvent le voile sur les particules du presque rien, sur l’utilité de la futilité, sur l’émoi, sur la mise en poésie de l’impalpable qui palpite. Ils sont accompagnés au violoncelle par Hélène Piris.

Lecture à eux voix et soirée de présentation de son premier recueil, Juste un doigt de liberté est publié aux éditions Le chat polaire et illustré par Pétula Rocher.